Bonjour à tous, bienvenue dans notre rubrique "actualités internationales" en direct sur AAN. Au Kiliger la situation ne s'améliore pas bien au contraire... C'est une sourde inquiétude qui grandit dans les milieux d'affaires et dans les chancelleries. En effet l'extension de la zone dominée par les GAT pourrait entrainer dans son sillage le chaos dans toute la région et perturber les transits commerciaux et plus particulièrement ceux liés à l'énergie.
De source bien informée on sait que les Services de renseignements sont très actifs dans la région et on peut imaginer que les capitales ne restent pas inactives en la matière. Les experts militaires que nous avons comme consultants affirment qu'il est usuel dans ce cas de figure de voir des opérations de caractérisation de la menace se déployer à très faible empreinte pour comprendre et évaluer le dispositif adverse. Est-ce que cela incitera les grandes puissances à passer à l'action ? Rien n'est moins sûr à ce stade mais les signaux en ce sens convergent...
Car chaque jour qui passe offre un répit à cet adversaire aussi déterminé que cruel dans ses procédés d'un autre âge. Leur idéologie mortifère ne vise qu'à asservir la population locale pour prospérer sur les maigres ressources résiduelles. Ils ne veulent que dominer les zones lacunaires dans les angles morts de nos sociétés occidentales trop occupées à se regarder dans le miroir de leurs vanités pour voir le danger progresser dans l'ombre.
Ne rien faire à ce stade serait une grave erreur et bien des voix se font entendre pour que la France puisse agir au mieux des intérêts collectifs du moment. En effet les GAT contrôlent dorénavant les axes majeurs de circulation ainsi que toutes les lignes d'approvisionnement énergétiques notamment les lignes Haute Tension qui irriguent le bassin minier principale source de richesse locale.
Les prochains jours seront donc décisifs pour que nos gouvernants puissent décider d'une action ciblée. L'inaction serait une bien mauvaise décision pour nos démocraties qui jouent ici certainement une partie de leur avenir même si personne n'ose se l'avouer publiquement.
